Laura est la responsable de l’équipe des communications marketing chez Bicom Systems. Au cours des trois dernières années, Laura a été la principale rédactrice du blog en plus de gérer les canaux mondiaux des médias sociaux de l’entreprise. Laura a un style d’écriture facile à lire qui affiche la motivation et la passion pour l’apprentissage de sujets éducatifs. Du marketing et des communications à la rédaction de contenu, Laura est prête à relever tous les défis qui se présentent à elle, y compris essayer de cuisiner son plat préféré, le Pad Thaï!
Le marché des centres de données reste un lieu dynamique, avec de nombreuses ressources consacrées à l’infrastructure qui alimente les applications Internet et cloud d’aujourd’hui. Un fournisseur qui a été à la hausse ces derniers temps est Element Critical, qui a acheté Skybox à Houston l’année dernière et se développe rapidement au Texas, en Virginie, à Chicago et en Californie. Avec nous aujourd’hui pour parler des plans d’Element Critical au Texas et au-delà est le COO Shane Menking. Shane a rejoint Element Critical l’année dernière, passant de Data Foundry après sa vente à Switch. Nous avions en fait Shane ici pour un coup de projecteur retour en 2010. … [visitez le site pour en savoir plus]
When discussing connectivity projects and investment in the North, the topic of a North–South Divide is never far away.
The government’s Levelling Up agenda, announced earlier this year, is the latest initiative to attempt to address this regional disparity, but just how successful will this be?
At this year’s first ever Connected North event, held in Manchester Central as part of Manchester Tech week, a discussion panel featuring local Mayors saw them air their frustration about previous government projects and outline what needs to change to bring serious benefits to the North…
When discussing connectivity projects and investment in the North, the topic of a North–South Divide is never far away.
The government’s Levelling Up agenda, announced earlier this year, is the latest initiative to attempt to address this regional disparity, but just how successful will this be?
At this year’s first ever Connected North event, held in Manchester Central as part of Manchester Tech week, a discussion panel featuring local Mayors saw them air their frustration about previous government projects and outline what needs to change to bring serious benefits to the North.
Tracy Brabin, Mayor of West Yorkshire Combined Authority, noted the impact of Brexit on the North, suggesting that government needs to do more to boost investment.
“It’s really frustrating to be promised the equivalent of EU funding, but in West Yorkshire we’ve only received two-thirds of that from the UK government,” said Brabin. “Every decision the government are making means we are at the back of the queue when it comes to funding, discussions, and inspiration.”
“It sometimes feels like the metaphorical pat on the head – that we should be grateful that we get anything from the government,” she added. “Levelling up is seen by the people of West Yorkshire as just more hot air from the government.”
Councillor Bev Craig, Leader of Manchester City Council, agreed, saying that no one fundamentally disagrees with the premise of Levelling Up, but for it to be effective it needs to be a vehicle for change within the government itself.
“Structurally as a country, no one disagrees that we should be spending the same per head across the nation,” said Craig. “But unless Levelling Up challenges the treasury and how departments operate, it will be confined to history just as quickly as local industrial strategies were.”
But Levelling Up is more than just ensuring equitable investment focus from the government, it is also about developing the region in terms of digital skills and shrinking the digital divide.
Crucially, this is about more than just ensuring that high quality internet infrastructure is available and affordable; it needs to be accessible by all parts of society, to meet their individual needs.
“It’s obvious that problem of digital exclusion is to do with price, but it’s also to do with homelessness, mental health, learning difficulties, and a host of other factors,” said Brabin, noting that encouraging digital skills was vital for community development. “We need soft skills for hard time.”
Naturally, this is a huge challenge for regions across the North, where isolated communities are all too often left behind, both in terms of national infrastructure rollouts and government investment.
Steve Rotheram, Metro Mayor for Liverpool City Region Combined Authority, emphasised the need for greater collaboration between local authorities, large and small, to share key learnings and successes.
“We all have the same vision for our communities and digital needs to be at the heart of that,” said Rotheram.
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L’opérateur Vodacom Tanzania aurait signé un contrat avec la dorsale nationale à large bande des TIC (NICTBB) du pays – le système d’infrastructure de câbles à fibre optique appartenant au gouvernement.
Le contrat, d’une valeur de 4,59 millions de dollars, permettra à l’opérateur d’utiliser NICTBB pour améliorer la connectivité dans les zones rurales de la Tanzanie. Cet investissement de Vodacom s’ajoute à un investissement initial de 6 223 500 USD en octobre 2021.
Le NICTBB est géré et exploité par la Tanzania Telecommunications Corporation (TTCL Corporation) au nom du gouvernement par l’intermédiaire du ministère de la Communication et des Technologies de l’Information.
L’objectif de l’infrastructure est d’améliorer l’utilisation des applications des TIC pour le développement socio-économique durable, y compris la mise en œuvre de l’administration en ligne, de l’apprentissage en ligne, de la santé en ligne, du commerce électronique et plus encore, à la fois localement et globalement. Le déploiement du NICTBB a commencé en 2009.
L’accord, signé par le Directeur général de TTCL Corporation, M. Peter Ulanga, et le Directeur général de Vodacom, Sitholizwe Mdlalose, vise à améliorer le trafic voix et données de Vodacom dans les régions du lac, du centre et du sud de la Tanzanie.
Des articles de presse tanzaniens citent le Secrétaire permanent du Ministère de l’Information, de la Communication et des Technologies de l’Information (Communication), le Dr Jim Yonazi, qui a déclaré: “La vision du gouvernement en matière de TIC est d’obtenir que 80% de la population ait accès à une connectivité numérique à large bande d’ici 2025. L’expansion de l’épine dorsale nationale de la fibre nous rapproche de cet objectif. »
Le Tanzanian Daily News affirme que Vodacom Tanzania est un acteur clé dans l’utilisation de l’infrastructure NICTBB depuis 2012. Un contrat de location de capacité d’une valeur de 50 millions de dollars américains a été signé en 2012.
Le NICTBB était dans les nouvelles en novembre dernier lorsque le gouvernement a annoncé son intention de l’étendre à d’autres pays en plus de son plan d’avoir un réseau de 15 000 kilomètres d’ici 2025.
Jusqu’à présent, la Tanzanie a étendu son épine dorsale aux pays enclavés et aux points frontaliers du Burundi, du Malawi, du Kenya, du Rwanda, de l’Ouganda, de la Zambie et du Mozambique. Des rapports récents ont suggéré que le prochain objectif est de connecter la République démocratique du Congo (RDC).
Ce point de vue de l’industrie a été rédigé par Sébastien Prieur, RAN / Gestionnaire de solutions mobiles-EXFO
Les opérateurs investissent actuellement massivement dans la modernisation de l’infrastructure des réseaux filaires et sans fil. La nécessité de mettre à niveau et de changer est alimentée par les milliards d’appareils appartenant à l’écosystème IoT et les nouvelles exigences qu’ils imposeront aux réseaux 5G fronthaul alors que les opérateurs commenceront à déployer la 5G. Une capacité importante devra être ajoutée pour soutenir cette évolution et cette expansion sans précédent du réseau. Pour permettre cette évolution, un nouveau spectre … [visitez le site pour en savoir plus]
Nokia has announced it will provide its data center switching solutions for Microsoft’s data center facilities to support the bandwidth growth to Microsoft Azure as part of a multi-faceted deal.
With the significant growth of cloud services and cloud computing and the move to 400GE, Nokia has been selected to supply its 7250 IXR chassis…
Nokia has announced it will provide its data center switching solutions for Microsoft’s data center facilities to support the bandwidth growth to Microsoft Azure as part of a multi-faceted deal.
With the significant growth of cloud services and cloud computing and the move to 400GE, Nokia has been selected to supply its 7250 IXR chassis-based interconnect routers to support high-density 400GE applications in Microsoft’s ‘tier-2’ network architecture. Nokia will also be supplying fixed-form-factor platforms into other Microsoft network applications. This new agreement builds upon the companies’ collaboration as part of the open source SONiC initiative to develop chassis-based platforms focused on the requirements of high-capacity data centers.
Nokia’s next-generation data center switching portfolio platforms deliver the scale, openness, aggregation and interconnectivity required for modern data center networks. The 7250 IXR offers a broad range of high-performance chassis-based and fixed-form-factor options for data center top of rack (TOR), leaf, spine and super-spine applications. The platforms support port speeds up to 400GE, with a path to 800GE, along with comprehensive IP and Ethernet feature sets.
Vach Kompella, Vice President, IP Networks Division, Nokia, said: “Today’s data centers have their own unique operational challenges, and Nokia has been working closely for some time now with Microsoft to understand its evolving data center needs and requirements. Our expertise in building high-performance, chassis-based systems was a key factor in our selection.”
David Maltz, Technical Fellow and Corporate Vice President, Microsoft Azure Networking, said: “Nokia’s platforms were a natural choice to deliver the massive-scale interconnectivity that Microsoft requires. Nokia brings density, performance and flexibility to Microsoft’s data center networks and cloud environments and is partnering with Microsoft to deliver chassis switches running the open source networking operating system SONiC.”
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Since its rescue from bankruptcy back in 2020, the UK’s OneWeb has gone from strength to strength, attracting over $2.7 billion in investment for its planned LEO satellite constellation.
Following steady launches over the past two years, OneWeb’s constellation currently stands at 428 satellites, with the company able to provide commercial services above the 50th Parallel North (essentially covering Northern Europe and Canada)…
Since its rescue from bankruptcy back in 2020, the UK’s OneWeb has gone from strength to strength, attracting over $2.7 billion in investment for its planned LEO satellite constellation.
Following steady launches over the past two years, OneWeb’s constellation currently stands at 428 satellites, with the company able to provide commercial services above the 50th Parallel North (essentially covering Northern Europe and Canada).
Ultimately, the current deployment is only around two-thirds of the 648 satellites that are planned in order for the constellation to provide global coverage. As such, additional satellite launches were set to take place in March, launching from the Baikonur Cosmodrome in Kazakhstan, operated by Russian space agency Roscomos.
However, the invasion or Ukraine by Russia quickly complicated matters, with Roscomos refusing to help launch the OneWeb satellites using their Soyuz spacecraft unless numerous conditions were met, including that the satellites would not be used by UK intelligence agencies. When OneWeb refused to comply, the March launches were cancelled, leaving the satellite operator at a loss for how to continue deploying its constellation.
Help came in the form of an unlikely ally. Elon Musk’s Space X, currently in the process of deploying its own LEO constellation, Starlink, offered to help launch OneWeb satellites.
“We thank SpaceX for their support, which reflects our shared vision for the boundless potential of space. With these launch plans in place, we’re on track to finish building out our full fleet of satellites and deliver robust, fast, secure connectivity around the globe,” said OneWeb CEO Neil Masterson at the time.
Now, it seems that OneWeb will have even more launch options available to them, signing a deal with New Space India Limited, the commercial arm of the Indian Space Research Organisation, to launch satellites from the latter’s Satish Dhawan Space Centre in Sriharikota, India.
“This is yet another historic day for collaboration in space, thanks to the shared ambition and vision of New Space India and OneWeb. This most recent agreement on launch plans adds considerable momentum to the development of OneWeb’s network, as we work together across the space industry toward our common goal of connecting communities globally, » said Sunil Bharti Mittal, OneWeb’s Executive Chairman.
The launches will be conducted using India’s largest rocket, the Geosynchronous Satellite Launch Vehicle, capable of carrying roughly 9,000kg into orbit.
The first launch from this site will reportedly take place later in the year.
Notably, this new deal with India does not invalidate its agreement with SpaceX.
« This launch contract follows a separate agreement between OneWeb and SpaceX to enable the company to resume satellite launches, announced in March 2022, » said OneWeb in a statement.
OneWeb says that it will have its entire planned constellation in orbit by the end of the year.
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In May last year, a consortium led by Safaricom won a telecoms operating licence in Ethiopia for roughly $850 million, intending to break up the monopoly of existing state-backed operator Ethio Telecom for the first time.
Building out a mobile network from scratch is not something that can be done quickly. The company has already begun work on rolling out infrastructure in major cities, with a wider deployment to follow…
In May last year, a consortium led by Safaricom won a telecoms operating licence in Ethiopia for roughly $850 million, intending to break up the monopoly of existing state-backed operator Ethio Telecom for the first time.
Building out a mobile network from scratch is not something that can be done quickly. The company has already begun work on rolling out infrastructure in major cities, with a wider deployment to follow. In February, for example, Safaricom unveiled its first data centre in the Ethiopian capital, Addis Ababa, preparing itself for the surge of data that should accompany its successful commercial launch.
However, broader population coverage will remain a challenge for some time, leaving Safaricom Ethiopia forced to rely upon some form of infrastructure sharing agreement with Ethio Telecom, at least in the short term; indeed, just such an agreement being established was dictated by the licencing agreement itself.
But reaching such an agreement has proven problematic. In fact, Safaricom Ethiopia was expected to launch commercial services this month, but delays in securing the deal with Ethio Telecom have prevented the launch from proceeding to schedule.
Now, it seems that the two companies have finally reached an agreement in principle, though a formal agreement has yet to be signed, according to sources.
“The deal is very important and critical for our commercial viability and launch. Hopefully [we will launch] soon but we don’t have a date yet,” said Michael Joseph, Group Chairman of Safaricom.
The prospective deal will see Safaricom Ethiopia gain access to cell sites, masts and other active elements such as network roaming.
“We have agreed in principle on power-sharing, interconnection and tower sharing but it is not concluded as we are yet to sign a final agreement,” Safaricom Ethiopia public relations and communications manager, Tewedaj Eshetu.
Safaricom Ethiopia is reportedly set to invest $300 million into the business this year, with the company suggesting that they will invest $2 billion in capital over the coming five years.
Earlier this year, the company has already signed a five-year infrastructure lease agreement with Ethiopian Electric Power.
Whether or not Ethio Telecom and Safaricom Ethiopia will be joined by a third operator remains to be seen. The Ethiopian regulator had intended to make a third licence available during its auction last year, but the sole bid of $600 million from South Africa’s MTN was deemed too low and the process was aborted.
At the time, the regulator suggested that they would soon re-auction the licence, but ongoing civil unrest and disruption of the global economy has since seen the regulator postpone the auction indefinitely.
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Par définition, une stratégie de canal est « plan d’un fournisseur pour déplacer un produit ou un service à travers la chaîne du commerce jusqu’au client final.” Systèmes Bicom est 100% orienté canal dans tout ce que nous faisons. Les partenaires peuvent aller des PME, MSP et FAI aux grandes entreprises, centres de contact et agences gouvernementales. En tant que fabricants de logiciels, nous fournissons le logiciel en tant que service perpétuel. Nos partenaires peuvent acheter ou louer les licences et les vendre à n’importe qui, n’importe où, pour n’importe quel prix. Le canal se termine avec notre partenaire, alors soyez assuré que nous ne contacterons jamais votre client.
2. Partenaire
Comme mentionné ci-dessus, chez Bicom Systems, nous ne traitons pas directement avec l’utilisateur final. Nous n’avons aucun intérêt à contacter vos clients. En tant que partenaire exclusif, nous souhaitons travailler directement avec vous. En proposant des solutions personnalisables, nos partenaires peuvent supprimer complètement la mention des systèmes Bicom de leurs produits. En plus de cela, nous impliquons nos partenaires dans le développement de nouveaux produits, mises à jour et fonctionnalités. Pour ne citer que quelques façons dont nous partageons le processus:
3. Privé
Bicom Systems est une entreprise privée. Nous avons un conseil d’administration pour superviser le mode de fonctionnement de l’entreprise. Chacun des fondateurs a un rôle profondément immersif dans nos activités quotidiennes, y compris le PDG, qui est à portée de main pour consulter, parler ou contacter. Dans les grandes entreprises, vous avez rarement l’occasion de discuter en tête-à-tête avec le fondateur ou le PDG, et encore moins de les rencontrer lors d’un salon professionnel. La transparence entre les fondateurs et les partenaires est extrêmement importante pour les valeurs fondamentales de la société Bicom Systems. En fait, nous organisons des campagnes trimestrielles appelées “Nous sommes tous à l’écoute” pour que nos partenaires interagissent avec le conseil d’administration et posent toutes les questions brûlantes qu’ils pourraient avoir.
4. En Espèces
Bicom Systems est une société privée et est également basée sur des liquidités. Cash-based signifie que l’entreprise est stable,prospère et sans dette! Bicom Systems n’a pas d’investisseurs externes pour influencer les décisions commerciales quotidiennes ou dicter des pratiques qui ne sont pas dans le meilleur intérêt de notre stratégie de distribution.
Nos partenaires peuvent compter sur cette stratégie pour établir des relations à long terme avec nous.
5. gens
Peut-être que nous sommes biaisés, mais nous pensons que la communauté des bicomères est l’une des meilleures personnes que vous trouverez. Lorsque vous devenez partenaire, vous rejoignez une famille. Nous voulons que vous réussissiez et ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous aider à atteindre vos objectifs, grands ou petits.
Nous sommes assez petits pour nous en soucier mais assez grands pour compter.
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